Le Parcours Inspirant d’Ashton Locklear malgré les Épreuves et Blessures

Les Débuts Prometteurs de la Gymnaste Américaine

Dès l’âge de 2 ans, après avoir visionné les Jeux Olympiques de 1996, Ashton Locklear a su qu’elle voulait devenir gymnaste. Elle a commencé par des cours pour débutants avec sa sœur, puis s’est lancée dans le tumbling et le trampoline à 4 ans, car elle était trop jeune pour la gymnastique compétitive. À seulement 10 ans, elle atteint le niveau 10, marquant ainsi le début de sa carrière prometteuse.

Ascension et Obstacles

À 15 ans, Ashton fait ses premiers pas dans l’élite junior, mais les blessures commencent déjà à entraver sa carrière. Elle se fracture le dos et doit s’absenter jusqu’en 2014, année où elle participe à son premier championnat du monde en tant que senior. Les années suivantes sont marquées par des chirurgies à l’épaule et des alternances dans des compétitions majeures, dont les Jeux Olympiques de Rio en 2016.

Un Nouveau Départ à WCC

Après des années au club Everest, Ashton décide de rejoindre le World Champion Centre (WCC) pour s’entraîner avec Simone Biles. Cette décision, qu’elle ne regrette pas, a été un tournant dans sa carrière. Malheureusement, six mois plus tard, elle se blesse au genou, nécessitant une nouvelle opération. Ashton souligne l’importance de son équipe de réhabilitation, menée par le Dr Tony DeRamus, ainsi que le soutien de ses entraîneurs Laurent et Cécile, et de son amie Simone Biles.

Changements Positifs et Retour à la Compétition

Contrairement à ses expériences précédentes, où on lui disait qu’elle n’était pas assez forte pour certaines compétences, l’approche positive de WCC lui a ouvert de nouvelles perspectives. Elle prévoit un retour à la compétition en février, participant à des épreuves auxquelles elle n’a pas concouru depuis 2013.

Surmonter l’Affaire Nassar

Ashton, victime de l’ancien médecin de l’équipe Larry Nassar, partage la difficulté qu’elle a eue à surmonter cette épreuve. Avec l’aide de professionnels et le soutien de sa famille, elle se considère plus qu’une survivante, aspirant à devenir une source d’inspiration.